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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 19:54

GARDEZ LA PAIX

 

 

 

ENSEMENCEURS DE MONDES  le 11.03.2011

 

 

 

Paix, paix, paix.

Que cette paix soit dans le cœur de chacun et de chacune. Les mouvements intérieurs, les mouvements extérieurs ne doivent pas vous éloigner ni les uns ni les autres de cette paix. La Paix vous la désirez, vous la proposez, vous en parlez, mais savez-vous exactement ce qu’elle est, quelle est sa nature, quel est son goût, quel est sa couleur, sa vibration ? Au plus profond à l’intérieur de vous-même, elle se trouve. Ne la prononcez pas du bout des lèvres, mais, allez la trouver, la recueillir en vous, comme une étincelle, comme la lumière, la flamme ardente qui est la source de vous-même. C’est un mot, nous diriez-vous, c’est une notion, c’est quelque chose qui en apparence est une idée, une pensée. En fait, c’est bien plus, beaucoup plus que cela. Vous pensez sans doute que cela n’est pas tangible, que vous ne pouvez la recueillir, la cueillir, la toucher à l’intérieur de vos mains, de votre cœur. En fait, si vous connaissiez réellement ce qu’elle est en vous, vous n’auriez pas cette pensée, parce que la paix est bien plus qu’une notion, qu’une pensée, qu’une idée. Elle est en quelque sorte à l’intérieur de vous, matière profonde, tangible. Vous êtes, vous avez été à l’intérieur de cette Terre, lorsque vous avez décidé en conscience, avec votre Conscience de venir vous redonner forme. Vous avez été forgés, formés dans vos cellules, dans vos atomes également par ce matériau, cette paix. Elle est une partie intégrante de la structure, de votre structure à partir du moment où vous êtes à l’intérieur de cette Terre. Cela vous étonne peut-être, parce que, comme nous l’avons souvent dit, lorsque vous ouvrez les yeux, les oreilles, ce qui apparaît en premier à l’intérieur de votre Terre, c’est l’inverse. Mais cet inverse-là, au fond n’est qu’une apparence. Nous ne désirons pas minimiser les choses, simplement vous rappeler que la paix est derrière les voiles, derrière les apparences que vos yeux, vos oreilles captent. Bien sûr, vous pouvez à tout instant, et, les instants ne manquent pas, vous laisser déstabiliser et oublier la nature profonde qui est vôtre. Or, c’est justement, paradoxalement lorsque l’apparence, lorsque les apparences sont à l’inverse de cette paix, qu’il devient de plus en plus essentiel d’aller au-delà de ces apparences, de traverser les couches, de couche en couche pour se retrouver soi-même à l’intérieur du noyau, en contact direct avec l’essence et l’essentiel, l’essence du ciel, diraient certains. Allez, allons ensemble au cœur de ce noyau, au cœur du noyau de vos atomes, et regardez, ressentez, écoutez. Ecoutez à l’intérieur de vous, à l’intérieur du battement, des battements du cœur, de votre cœur. Battements réguliers ou moins, accélération parfois, mais, si vous êtes à l’écoute du battement régulier de votre cœur, de la pulsation de celui-ci, vous percevrez alors un équilibre sous jacent. La réalité de la vie, de l’être que vous êtes, de l’êtreté qui vous habite, cette réalité c’est le battement régulier, la pulsation forte, mais en même temps douce et tranquille qui ouvre à la circulation de vos fluides, à la circulation du sang qui circule sans que vous en ayez parfois conscience à l’intérieur de vous, de vos organes, dans tous les endroits qui nourrissent le corps physique matériel et matière, la structure de votre être. Comment croyez-vous, comment sentez-vous, comment savez-vous que la vie circule en vous ? Avez-vous conscience de cette vie qui pulse à l’intérieur de vous ? Avez-vous conscience que vous êtes cette vie qui circule, qui va, qui vient ? Avez-vous conscience que ce qui sous tend cette vie qui est vous, c’est l’onde, ce sont les ondes de cette paix ? Observez, contemplez l’intériorité de votre être. Vous le savez, vous le sentez, même si à certains moments, et bien souvent vous l’oubliez. Ressentez que ce n’est qu’à partir de cet équilibre en vous, de cette paix que votre vie, que la vie se déroule. Dès que quelque chose vous perturbe, il se passe un déséquilibre et vous mettez des couches. Vous recouvrez comme d’un couvercle, le noyau, le centre et le cœur, et à ce moment-là vous êtes tout affolé, dans les inquiétudes. Vous êtes soumis, soumises, vous, vous soumettez aux sensations, aux sentiments de peur , et vous oubliez que le noyau de votre vie c’est la Paix. Parce qu’il ne peut y avoir de vie, de déroulement vital, sans que la paix ne soit. Certes, vous pouvez si vous le désirez, nous pourrions si nous le désirions remplacer ce mot de paix par d’autres, lesquels ? Amour, lumière, vie, cela n’est-il pas la même chose ? Mais, si aujourd’hui en cet instant, c’est avec la paix que nous désirons vous enseigner, si aujourd’hui c’est la paix que nous vous proposons de découvrir, de re découvrir, c’est parce que cela est essentiel, à vous, et en même temps à tous ceux, à toutes celles qui forment l’égrégore de cette humanité. Cela est nécessaire à la conscience globale de cette humanité, comme cela est nécessaire à la conscience une, non divisée de votre Terre.

La Source première, une, la Source Père-Mère, à partir de quoi pensez-vous qu’elle a créée ? Certes à partir de son amour, de sa créativité, de son désir d’engendre, de donner d’aimer la Vie, mais vous, vous tous en cette humanité, si vous désirez créer, vous ne pouvez créer qu’à partir de la paix. Les créations issues d’un sentiment de peur, ne durent jamais, elles finissent bon an, mal an, un jour ou l’autre par se briser. Ce qui reste, ce qui se déploie, ce qui se donne, c’est ce qui est créé dans la tranquillité de l’âme, dans la conscience à partir de la Paix. Intégrez cela quelques instants, car beaucoup d’être à l’intérieur de cette Terre oublient, ont oublié d’abord qu’ils sont des créateurs, ensuite s’est perdu pour beaucoup une partie de ce que nous allons appeler le « mode d’emploi » de la création, de la créativité. Et cette partie du mode d’emploi de la création, de la créativité porte un nom, c’est la Paix. Saluez une à une, et nous avons bien dit une à une, les cellules qui vous forment, qui forment la matière de vos corps physiques, matériels. Saluez les cellules une à une qui forment les autres de vos corps plus subtils. Cette vérification, ce salut, cette salutation, cette célébration de chacune de vos cellules, vous permet, vous permettra de retrouver le noyau, la nature, la source qui est la paix. Oui, nous l’avons dit bien souvent, et, nous sommes tout à fait disposés à le répéter, et le répéter encore : la Conscience de votre Terre, son être tout entier est l’offrande absolue, inconditionnelle de cette paix. Et, lorsque vous entrez à l’intérieur de votre Terre, lorsqu’elle vous ouvre ses bras, lorsqu’elle vous serre tendrement, tout près de son cœur, son bouquet d’offrande ; ses fleurs précieuses, c’est la nature de cette paix.

Imaginez, parce que c’est au fond une réalité, imaginez lorsqu’une mère qui vient d’accoucher, une fois les perturbations de la mise au monde passées, imaginez-la cette mère tenant tendrement, tranquillement son enfant sur son cœur, sur son ventre et dans ses bras. Que se passe-t-il ? Que se vit-il entre la mère et l’enfant ? Eh bien cet enfant sorti der l’accouchement, c’est vous. Elle vous tient dans ses bras, elle vous tient sur son cœur, sur son ventre et vous berce tendrement. L’enfant qui vient de naître, qui vient d’être mis au monde, qui vient de découvrir la lumière extérieure a besoin d’être rassuré, ré assuré. Chacun de vous est cet enfant, et vous avez besoin également d’être, tous ré assurés. Ces moments de réassurance, offrez-les vous, parce que ce n’est pas dans ce que vous nommez le stress, ce n’est pas en fermant les yeux et les oreilles à la chaleur, au cœur, à la tendresse de celle qui vous porte que vous pourrez aller jusqu’au cœur, jusqu’au noyau de vous-même pour goûter, intégrer, retrouver la nature de vous-même. Il est essentiel qu’au milieu d’un certain affolement extérieur parfois, justement vous trouviez le temps, comme vous dites, de vous arrêter. D’arrêter le mécanisme qui va de l’avant et encore de l’avant et qui se précipite parfois. Donnez-vous, offrez-vous des instants de pause, de calme, de repos.

Les êtres souvent se disent « je n’ai pas le temps ». Ils courent, ils courent encore après qui, après quoi, ils ne savent même pas. Entrez à l’intérieur de vous, allez à la rencontre du noyau de la nature de vous-même, allez trouver, retrouver au fond de vous, à l’intérieur de chacune de vos cellules, des cellules de chacun de vos corps, allez trouver le battement doux, équilibré de votre vie, de la vie qui bat, qui pulse et qui est votre nature. Vous êtes la pulsation de la vie. La vie se crée-t-elle au milieu de l’affolement ? Elle ne demande cette vie qu’à se déployer, qu’à étendre ses champs, ses espaces de lumière. Cela peut-il se faire en dehors de la paix ? Ne soyez pas, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles, ne soyez pas comme ces apprentis brouillons qui perdent, parce qu’ils se hâtent trop, la moitié des pièces du puzzle et qui ne peuvent plus refaire l’ensemble du paysage. Mais soyez comme celui ou celle qui a pris précaution de mettre d’abord près de lui tous les outils dont il a besoin pour créer son œuvre, qui sait parfaitement où il désire aller et qui y va pas à pas, au rythme qui est le sien. Pas celui de l’autre, mais le sien. Vous, vous déracinez vous-même, vous, vous mettez en dehors de votre nature, de la paix en vous, lorsque vous désirez adopter le rythme de l’autre, si d’aventure celui du voisin ou de la voisine serait meilleur. Il n’y a rien, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles lumière, il n’y a rien qui soit meilleur, moindre que la vie, la paix s’étend, c’est une onde profonde. C’est l’onde, la fréquence de la vie en vous, c’est le calme tranquille de celui qui sait que pas à pas, que battement en battement les choses sont. Que tout arrive, comme vous dites au point juste, au moment juste, le vôtre, celui de chacun. La vie, l’onde de vie a tellement de facettes, tellement de possibilités et de possibles. N’enfermez pas les choses, ne vous enfermez pas non plus et ne vous laissez pas, surtout pas enfermer. Ouvrez grand la porte, la porte de votre cœur qui bat, tranquillement. Ouvrez à l’onde de cette paix, à votre nature, sans vous laisser perturber par ceci, par cela.

La Source Père-Mère habite en vous, dans le temple de cette paix que vous êtes, et qu’elle est unie au cœur de la Conscience de votre Terre, qui avance elle aussi dans ses propres ondes paisibles, au-delà derrière le voile, derrière les voiles que vous avez posé, ou que d’autres, à certains moments ont pu poser. Mais, les voiles se déchirent pour que vous puissiez regarder derrière. Vous ne le pouvez pas si vous êtes pris, prises dans l’onde de la peur. Vous remettrez d’autres voiles plus épais, alors que c’est le souffle de la vie en vie, c’est l’éclairage issu directement du noyau de cette paix qui vous permettra de soulever les voiles et d’aller au-delà de ce qui est présenté, de ce qui est enfermé, de ce qui est tremblé. Ouvrir sur l’onde, ouvrir sur les dimensions, aller au-delà de ce qui a été caché, de ce qui se cache encore à l’intérieur de vos cerveaux, dans les apparences, dans les paroles trompeuses parfois de celui-ci, de celle-là. Allez au-delà, mais ne combattez pas, parce que le combat remet les voiles et fait grossir les nuages, et remet les couches une à une. Celui, celle qui avance en tranquillité, en calme, est celui qui tient la flamme de sa propre lumière. C’est le pèlerin du cœur, c’est le porteur de lumière et l’accueilleur de paix. Qui voulez-vous être ? C’est là, la question, c’est votre question à chacun et à chacune, et, personne, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles lumière ne peut y répondre à votre place.

Alors, cette réponse, votre réponse à partir de quoi va-t-elle se poser ? Va-t-elle se poser à partir de votre paix ou à partir de votre peur ? C’est peut-être là, la grande question qui est posée à cette humanité, et ce n’est pas d’aujourd’hui. De tous temps cette question a été posée, murmurée en votre cœur, en vos oreilles. Que choisissez-vous ? Qu’allez-vous choisir individuellement, collectivement ? Allez-vous continuer enfants de cette Terre, fils et filles des étoiles, à vous laissez tromper, à vous tromper vous-même, à l’intérieur de votre peur ? Allez-vous continuer à être trompés par ceux qui désirent vous effrayer, ou allez-vous continuer à être dans l’écoute de votre paix, à l’écoute du noyau de vie de votre propre création de cœur ? Suivrez-vous la voie de la lumière ? Ouvrirez-vous votre cœur, le cœur à l’Amour sans condition ? Ce n’est pas à nous, enfants de cette Terre, de répondre. Vous savez bien, ce que, nous créateurs de lumière, ensemenceurs de ces mondes de lumière et d’Amour avons choisit. Si vous le désirez, vous n’êtes pas différents, puisqu’en vous, en nous, la Source Père-Mère a mis les mêmes choses, les mêmes similitudes. C’est cela que beaucoup d’entre vous, en cette Terre ou à d’autres endroits, peu importe ont oublié. Mais, toujours nous vous insufflons, nous avons insufflé en votre cœur, en vos cellules le noyau, les perles précieuses, le diamant pur de cette paix qui ouvre toutes les portes, toutes les portes de votre cœur pour les unir aux nôtres, pour les unir à la Source Père-Mère,, à la similitude qui est chacun et chacune d’entre vous. Cessez, enfants de cette Terre de vous croire différents, de vous croire séparés. Séparés de vous, d’abord et bien sûr de nous, de votre divinité. Combien plus vous n’êtes que ce que vous n’osez envisager. Ecoutez le battement uni de votre cœur, écoutez le battement équilibré de votre Terre au-delà des voiles, des apparences parfois néfastes que vous pouvez voir en sa surface. Traversez les couches de vos illusions. Traversez les couches de vos peurs. Entrez dans le noyau lumière de chacune de vos cellules, au cœur de vos atomes. Sentez le goût de cette paix. Laissez-la devenir tangible, palpable. Laissez-la vous envelopper, laissez-vous être enveloppés de son manteau. Laissez-nous, laissez votre Conscience déposer sur vos épaules, en votre corps le manteau de cette paix.

Il a un son, il a un goût, un aspect particulier. Que chacun, que chacune reçoive ce manteau de paix et de lumière à sa manière. Parce que, curieusement, aucun de ces manteaux n’est exactement le même, et pourtant, ils sont en unité. Ne cherchez pas à comprendre cela avec un raisonnement rationnel du mental amenuisé de vos cerveaux, mais sentez cela, recevez cela, pressentez cela, goûtez cela dans la conscience lumière de tout votre être. Utilisez de la manière la plus déployée possible vos perceptions. Laissez-le se placer sur vos épaules, à l’intérieur de votre cœur. En comprenant ce manteau de paix, de lumière et d’amour à l’intérieur vous l’étendez au-delà des galaxies, des univers connus. Les fils de ce manteau, les couleurs de ce manteau, tout cela est offert à partir d’une source unique. C’est à cette Source que vous pouvez monter. C’est dans les mains de cette Source, c’est dans le cœur de cette Source, c’est dans les yeux de cette Source, c’est dans le souffle de cette Source que tout cela a été engendré, comme vous, comme nous, comme tous. Il y a ceux qui le reconnaisse et le célèbre. Il y a ceux qui ne le reconnaisse pas encore, et il y a ceux dont vous n’êtes pas qui l’on refusé ou le refuse encore, peu importe. Il y aura bien un jour où tous l’accepteront.

Et pour ce faire, commencez donc à l’accepter vous-même, et étendez cette acception du cœur lumière de cette paix au sein de la Source Père-Mère, là où vous pouvez, sans rien comparer en étant tout simplement cette paix, cette vie, cet amour, cette lumière, cette unité, cette globalité. Les semences de cette paix sont déversées, ont été déversées à l’intérieur de votre Terre pour que les fils de son propre manteau de ses voiles lumière en soient tissés. Pour qu’elle en tisse les vôtres. Combien de fils de ces manteaux auront nous à tisser ? Il n’y a pas de réponse absolue à cette question. C’’est à chacun d’entre vous de répondre. Nous avons semé, nous sèmerons encore, et ceux-ci et ceux-là sont venus pour semer en cet endroit ou bien en un autre. Les fruits se cueillent et se recueillent. A vous de continuer à semer, pour que d’autres recueillent les fruits, et, d’autres sèmeront pour que d’autres recueillent et, ainsi de suite. Puisque tout est en lien, pour que l’unité se refasse au cœur, de cette paix qui est la nature intrinsèque de chacun et de chacune d’entre vous, de chacun et de chacune d’entre nous, et bien entendu de la Source à l’origine de tout.

Respirez cela. Laissez-le s’étendre encore en votre Conscience. Ainsi, à votre manière et, comme nous, vous êtes ces ensemenceurs de mondes. Vous n’en n’avez sans doute pas la perception.

A certains moments, si, à d’autres, non. Soyez donc de plus en plus conscients d’êtres ces ensemenceurs de mondes, et soyez en tous ces semeurs de paix.

Et, pour ce faire accueillez-la, recueillez-la, célébrez-la en vous.

Paix ! Paix ! Paix !

 

 

 

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commentaires

S
<br /> Kara,<br /> Quel bonheur de vous retrouver et de vous lire;<br /> Votre route a croisé la mienne lors de la conférence du Dr EMOTO, dans le sud de la France, et vous avez illuminé ma vie.<br /> J'ai du entrer en maladie pendant une longue année, mais ce souvenir est resté comme une petite étoile dans mon coeur.<br /> Merci pour ces paroles d'amour et de paix.<br /> AMOUR ET GRATITUDE.<br /> <br /> Je vais transmettre le lien de votre blog autour de moi;<br /> A très vite;<br /> Sylvie-Nephret<br /> <br /> <br />
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